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Ce matin, dans un taxi, j’ai entendu une jeune femme raconter au téléphone à une amie qui l’appelait, le poisson d’avril qu’on lui avait fait… Moi, pour être certain que personne ne m’aurait, je m’en suis fait un à moi-même.

Jeudi 1^er, à la première heure, je me suis appelé de ma ligne gsm perso sur ma ligne professionnelle pour m’annoncer que j’avais arrêté de fumer ! Plus pourri que ça comme poisson d’avril, je vois pas…

Mais je ne m’étendrai pas sur la journée que j’ai passée ni comment de mauvaise grâce mais de bonne foi, j’ai subi cet arrêt subit de tabac. Les fumeurs repentis se reconnaitront.

Journée d’enfer, même pas racontable, tellement je ne suis pas fier de moi sans compter qu’après les vannes de Gad sur la question, il ne reste plus qu’à s’écraser à propos du sevrage tabagique.

Donc j’ai enduré aussi stoïquement que je pouvais, jusqu’au soir où je me suis rappelé pour lever la plaisanterie. Avec une bonne surprise à la clé : pour les situations de ce genre, il existe désormais paraît-il un substitut génial à la cigarette à combustion ! La cigarette à évaporation d’eau parfumée voire nicotinisée…

Donc, les fumeurs de cigarettes électroniques que vous avez déjà peut-être rencontrés ici ou là-bas, autour d’une table de poker où dans la salle d’embarquement d’un aéroport, n’étaient pas des poissons d’avril ambulants, surtout si vous les avez rencontrés en décembre ou en août…

Qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre, faisait pourtant déclarer Molière au Sganarelle de Dom Juan. Pas de problème, laissez tomber la cigarette et mettez-vous au cigare ! Et pour pouvoir continuer à vous régaler de fumée entre deux Havanes, essayez donc le régime vapeur d’eau glycérinée parfumée de ces cigarettes du futur annoncé, qui n’attend personne pour commencer.